Le décrochage se manifeste brutalement et nous met devant nos responsabilités.
Dans les faits après les effort du gouvernement de Lionel Jospin, l’enseignement supérieur et la recherche n’ont plus reçus les moyens financiers et humains nécessaires.
La chute est brutale pour notre pays et la loi de programmation de la recherche qui vient d’être votée est au mieux un pansement sur une jambe de bois au pire elle prépare un enterrement de première classe.
Nous avons déjà fait des propositions qui n’ont pas été retenues lors de la discussion de la loi.
Désormais il faut mettre en œuvre une vraie rupture contre cette spirale du déclin.
Nous le devons aux étudiants, qui souffrent terriblement dans la période, mais plus largement aux doctorants, aux enseignants-chercheurs et au chercheurs et tout simplement a notre pays pour lequel il n’est jamais inutile d’avoir un peu d’ambition…