C’était il y a 40 ans.
Je n’étais qu’un adolescent.
Et puis cette journée du 10 mai 1981.
Ce grand basculement.
Cet espoir qui se levait dans tout un pays.
L’air semblait plus léger, c’était indéfinissable.
Mais nous ne vivons pas seulement de souvenir, mais d’espérance.
A nous collectivement de reconstruire un chemin.
Plus que jamais la gauche a aujourd’hui une responsabilité historique…